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Penser l'existence, penser le monde, penser l'humain, et les panser -- donner la parole à toute personne ayant connu la violence
10 février 2014

PREMIER BILAN DE MON COMBAT CONTRE LES TEMOINS DE JEHOVAH SATANISTES DE LYON (fin janvier 2014)

 

100_6755 - Copyrighted

 

Bonjour à toutes et à tous,

 

Vous avez été nombreuses et nombreux à visiter le blog que j'ai créé fin octobre 2013, consacré à une terrible histoire concernant la congrégation de Témoins de Jéhovah satanistes de Tassin La Demi-Lune. Au programme : viol psychologique, pressions de toutes sortes, harcèlement moral, chantage, menaces (dont menaces de mort), manipulations, mensonges, perversité, abus sexuel et prostitution, calomnies, pédophilie, et j'en passe. Les noms de Tassin La Demi-Lune, Sergio M., Alain V., Franck T., Maria Bazeliza M., Eva et José M., Hugo et Josh M... sont ainsi devenus tristement populaires sur internet... dans le mauvais sens du terme, entends-je.

 

Mais beaucoup se demandent pourquoi j'ai soudainement interrompu mon combat fin novembre ? La raison est double.

 

Premièrement, je ne voulais pas gâcher vos fêtes de fin d'année avec tant de ténèbres et de violence (plusieurs d'entre vous m'ont écrit pour m'avouer combien cette histoire les passionnait mais en même temps les bouleversait intimement, certain(e)s aux larmes car ayant vécu une expérience assez similaire avec l'une ou l'autre secte sataniste ou pseudo-diviniste comme celle de Tassin, et ayant perdu un(e) de leurs proches suicidé(e) sous les pressions terribles des « têtes pensantes » des différentes sectes impliquées ; j'ai été moi-même à deux doigts de mettre fin à mes jours (je ne me suis d'ailleurs pas remis de ce ravage pseudo-religieux : chaque jour est devenu une épreuve psychologique/physique à relever), et je sais que si j'avais été d'une nature plus fragile, je ne serais plus en train de vous écrire en ce moment, mais je reposerais dans un caisson de bois six pieds sous terre, d'où la dangerosité de ces gens.

 

Secondement, je souhaitais, par justesse et justice, donner à ces individus incriminés la possibilité de s'expliquer, de s'excuser, de se racheter. Nous sommes en démocratie, et j'estime qu'un coupable, quel que soit son crime, a le droit d'argumenter sa défense, d'expliquer son comportement, de justifier ses actes et d'exposer ses mobiles/motivations. Mais ce fut en vain, comme vous vous en doutez. Je me suis heurté à des murs d'imbécillité, de vilenie et de mauvaise foi d'un côté, et à des bastions de silence de l'autre, d'un silence éminemment méprisant. Jamais je n'avais rencontré un tel mépris, autant de gens qui vous jugeaient du haut de leur « chaire » (je pourrais dire « du haut de leur chair ») sans même daigner vous rencontrer pour se faire une idée précise de vous. Ces gens vous condamnent à mort du simple fait que vous n'êtes pas Témoin de Jéhovah... ou millionnaire, car dans la famille M. l'argent compense les convictions religieuses. Comme je l'ai déjà écrit à plusieurs reprises, Eva M. aime l'argent, plus que tout, et elle vous jugera avant tout sur cette composante. À l'opposé, José et Sergio M., ou Alain V., vous jugeront sur le fait que vous êtes baptisé Témoin de Jéhovah ou non. Dans les deux cas, vous serez vu comme un être méprisable, digne de terminer dans les fours d'Auschwitz et brûlé vif de préférence. Que vos valeurs soient belles, que vos intentions soient nobles, que votre amour soit sincère, vous serez considéré comme un criminel de la pire espèce et conséquemment rabaissé, décapité. Alors commenceront les pressions psychologiques, les calomnies, les persécutions, et ils feront tout pour vous conduire au suicide afin de se débarrasser de vous mais sans avoir du sang sur les mains au sens propre. Au sens figuré, cependant, le sang dégouline de chacun de leurs doigts. Au nom de l'Amour de Dieu ???

 

À l'issue d'un échange de textos intensif avec Maria Bazeliza M. entre le 2 décembre 2013 et le 19 janvier 2014, pas le moindre compromis n'a été trouvé, pas les moindres excuses sincères et concrètes n'ont été présentées. Seule Maria Bazeliza M. a daigné converser avec moi (personne d'autre, ni Alain V., ni José M., ni Eva M., ni Sergio M., ni Marjorie M., ne se sont jamais manifestés, pire que cela, ils ont empêché tout contact – je n'arrive pas à connaître l'implication exacte de Marjorie dans l'histoire, la maman d'Hugo et Josh, mais elle a probablement joué un rôle stratégique elle aussi). Avec Maria Bazeliza il y a eu des échanges, donc, mais nous avons interminablement tourné en rond, ni elle ni aucune de ces personnes n'admettant suffisamment ses erreurs à mon égard pour aller jusqu'à se repentir et jusqu'à faire ce qu'il faut pour les réparer. Et le 19 janvier 2014, alors que nous étions en pleine conversation, Maria Bazeliza M. a coupé à jamais tous les ponts avec moi, d'un seul coup, sans raison. Erreur fatale, chère Maria. Je ne sais pas comment tu fais pour choisir toujours la pire des décisions qui soit, celle qui va encore aggraver les choses et qui va tout détruire autour de toi et autour de tout le monde. C'est à croire que tu le fais exprès. Un de mes amis psychologues a émis l'hypothèse que tu m'utilisais pour détruire ta famille, te vengeant par mon truchement des abus sexuels que tu avais vécus dans ton enfance. Alors que tu savais pertinemment qu'en ne réparant pas tes erreurs avec moi, qu'en ne parvenant pas à prouver ton amour sincère et qu'en coupant les ponts, j'allais relancer le blog anti-racolage sectaire, puisque alors c'est bien du racolage sectaire. Tu agis donc en connaissance de causes. Tu sais que je déteste toute forme de racolage sectaire, surtout celui qui manipule les sentiments amoureux des gens, car c'est violer les choses les plus nobles et les plus fragiles de notre monde. On ne salit pas l'amour de quelqu'un, on ne dit pas « je t'aime » en écartant les jambes pour attirer quelqu'un dans une congrégation religieuse. C'est un CRIME CONTRE L'HUMANITÉ !!! ET IL EST DE MON DEVOIR CITOYEN DE LE DÉNONCER !!!

 

Au cours de ces échanges par textos (que je publierai très bientôt dans leur intégralité), Maria Bazeliza a essayé plusieurs fois de mettre en avant ma culpabilité en rapport avec la création de ce blog qu'elle considère comme une trahison suprême (en le créant, je lui ai fourni le prétexte rêvé qu'il lui manquait jusque là pour m'accabler de reproches, puisque avant le 25 octobre 2013 elle ne pouvait absolument rien me reprocher, ayant été elle-même avec son entourage la cause unique de tous les maux), en occultant toutes les trahisons et violences dont ELLE et SA FAMILLE avaient été coupables eu égard à ma personne avant cette « réponse publique » de ma part. Je suis devenu soudainement responsable de tout, et tout ce qui avait précédé le 25 octobre 2013, date de la création du blog, n'existait plus à ses yeux, n'était qu'un « détail de l'Histoire » (comme les camps de concentration pour les négationnistes). Je lui avais pardonné les deux premières trahisons (celle du 7 décembre 2012, celle de mars 2013) mais j'ai décidé de ne pas pardonner celle du 7 octobre 2013 et de créer conséquemment ce blog. Je l'ai peut-être trahie en date du 25 octobre 2013 en publiant mon premier texte, mais si vous calculez bien (si tu calcules bien, Maria Bazeliza, toi qui es comptable de profession, tu noteras que) ça ne fait qu'une trahison de ma part contre trois de sa part. Elle m'a demandé de lui pardonner, et de pardonner également sa famille... mais en spécifiant que ni sa famille ni elle n'avaient l'intention de me pardonner MOI en retour. Cherchez l'erreur. Où est donc la chrétienté dont se réclament ces pseudos Témoins de Jéhovah*** ? La chrétienté n'encourage-t-elle pas le pardon ? Je suis donc plus chrétien qu'eux, de toute évidence, car moi je suis capable de pardonner... et de respecter mes engagements vis-à-vis d'autrui... et d'aimer du plus profond de mon être. Sachez une chose, gens de Tassin (ce que m'ont dit très justement des « anciens » TJ de Belgique) : Être chrétien, ce n'est pas (que) prêcher dans la rue et assister à des réunions, c'est avant tout faire preuve d'un comportement noble, digne, propre, respectueux, qui force l'admiration et donne envie d'être imité.

 

 

 

NOTA BENE : ***Ces gens se disent Témoins de Jéhovah mais ne le sont pas au regard des TJ que j'ai rencontrés en Belgique et qui ont eu vent de cette histoire ; des TJ de Belgique les ont surnommés les « faux chrétiens », quant à moi je les ai baptisés les « Témoins de Judas » – les Témoins de Jéhovah en général se sentent d'ailleurs insultés dans leur intégrité et leur mode de vie par ces gens de Tassin qui se disent appartenir à la Communauté des Témoins de Jéhovah, et ne veulent rien avoir à faire avec eux – je mène donc aussi ce combat pour eux, car j'y ai rencontré en Belgique quelques personnes que j'aime énormément, et qui ne méritent pas d'être ainsi entachés par des « néo-nazis de la religion ». Je n'ai jamais été partisan de la pratique de mettre tout le monde dans le même panier.

 

 

 

 

Notez aussi qu'entre sa rupture inconsidérée du 7 octobre 2013 et la création du blog le 25 octobre 2013, se sont passés 18 jours, et ce n'est pas par hasard. Je voulais en effet donner à Maria Bazeliza une chance de se manifester, de se rétracter et de se montrer raisonnable durant ce laps de temps, avant une contre-offensive de ma part. Mais Maria Bazeliza n'a pas saisi cette chance (comme toujours, elle ne saisit jamais les perches qu'on lui tend, sauf quand il s'agit des perches saupoudrées de curare que lui tendent les démons de Tassin La Demi-Lune), pensant que j'allais me laisser écraser sans mot dire ; j'ai appris que la création de ce blog a surpris tout le monde ; personne ne s'y attendait du fait que je suis connu pour être quelqu'un de doux et de gentil ; mais on peut être gentil et se battre malgré tout au nom de la justice et contre les gens mauvais qui détruisent ce monde, ce n'est pas incompatible, me semble-t-il). Maria Bazeliza aurait encore pu réagir lors de la publication du tout premier texte, et confirmer que son amour était sincère et non du racolage sectaire. Une fois encore, elle n'en a rien fait, se disant que « ça va s'arrêter », que « Daphnis va se calmer et refaire sa vie ailleurs comme si de rien n'était ». Mais quand on commet des crimes, Maria, ça ne peut pas s'arrêter avant qu'il y ait eu un jugement, une condamnation publique et une sentence prononcée. C'est ainsi que fonctionne la Justice de ce monde, que cela te plaise ou non. Pousser quelqu'un au suicide est un homicide indirect, rarement prouvable... sauf quand la personne en question survit à cette persécution et décide de ne pas se suicider mais de PARLER.

 

Ce blog fut une punition pour tout le mal que ces gens m'avaient fait subir pendant un an, mais j'étais prêt à ne pas poursuivre cette punition ad vitam eternam. En effet, quand on punit quelqu'un, il suffit que ce quelqu'un s'excuse, se repentisse et fasse tout pour se racheter, pour que la punition soit levée ou tout au moins abrégée et atténuée, sans quoi cela devient de la persécution pure et dure, comparable à celle qu'ont subie les juifs, roms... du temps du IIIème Reich. Une punition est positive pour recadrer quelqu'un, mais la persécution ne l'est pas car elle n'a pour seule visée que de détruire quelqu'un. Mais qu'en est-il quand des personnes coupables d'actes répréhensibles ne montrent aucune volonté sincère de se repentir ? Pire encore, quand ces personnes, par une incorrigible mauvaise foi, tentent de vous transformer VOUS LA VICTIME en UNIQUE COUPABLE DE LA SITUATION ? Dans ce cas, la punition ne peut que se poursuivre et monter d'un cran. Ce qui va être le cas dans les semaines et les mois qui suivront, malheureusement. Je dis malheureusement car cela ne me remplit pas de joie. J'aurais aimé, pour une fois dans mon existence, que l'issue d'une situation épouvantable soit heureuse. Mais une fois encore, comme ce fut toujours le cas depuis mon enfance, l'issue sera malheureuse. J'aurai tout essayé pour résoudre le problème : d'abord la douceur (pendant près d'un an), puis la violence (pendant cinq semaines), enfin le bon sens (pendant plus de deux mois). Mais la situation était perdue d'avance, comme ce fut le cas pour tout dans ma vie. Quoi que je fisse, l'issue fatale était scellée depuis le début. Sans doute scellée depuis des milliards d'années, écrite dans Le Grand Livre des Destins. Oui, tel est mon destin. Ainsi soit-il.

 

Je suis donc contraint en ce triste jour du 7 février 2014, à contrecœur donc, de reprendre le combat là où je l'avais suspendu deux mois plus tôt. Puisque tel semble être le désir de ces personnes, que je le reprenne, celles-ci n'ayant pas répondu intelligemment et de manière acceptable à mes multiples tentatives de dialogue, méprisant toute forme de rédemption et n'ayant pas pris en compte mes avertissements pourtant on-ne-peut-plus explicites de dénonciation publique légitime de ma part à l'encontre de leur sectarisme sataniste. Maria Bazeliza elle-même a été incapable de me démontrer la sincérité de son amour pour moi (alors qu'elle m'a dit « je t'aime » dix fois par jour pendant un an et demie), ce qui prouve que j'avais bel et bien raison lorsque je parlais de « racolage sectaire » et de « proxénétisme jéhoviste » dans ce texte intitulé « La prostituée de Jéhovah », qui a fait d'ailleurs beaucoup de bruit, car on m'en parle encore aujourd'hui. Le fait que cette rupture survienne juste après un texto de ma part disant que « je suspends ma démarche de devenir Témoin de Jéhovah tant que notre couple n'est pas stabilisé » n'est pas non plus un hasard, puisque l'objectif de Maria Bazeliza n'était pas notre couple mais bien mon évangélisation forcée.

 

N'importe qui de sensé te le dirait, Maria Bazeliza : un amour sincère ne peut pas s'effacer du jour au lendemain, c'est tout simplement impossible s'il est aussi profond que tu le clamais au quotidien. Or, alors que, suite à ta tentative de suicide en automne dernier, j'étais le seul à te soutenir à l'hôpital quand ta famille te maudissait et te faisait passer pour morte auprès de tes neveux, tu as décidé de me rejeter MOI et de te ranger dans le camp de ta famille qui ne t'aime visiblement pas. Mais tu as attendu pour le faire, attendu que ta famille te pardonne ton suicide, me gardant en réserve sous le bras au cas où ta famille ne te pardonnait pas et que tu te retrouvais seule abandonnée de tous. C'est tout de même vachement pratique d'avoir un Daphnis sous la main, que l'on conserve tant qu'on ne peut pas avoir autre chose, bouche-trou qu'on jette sans hésitation ni le moindre scrupule dès qu'on a récupéré les autres gens. Tu m'as bien utilisé, Maria Bazeliza, tu m'as instrumentalisé, et cela, c'est tout simplement dégueulasse de ta part, surtout alors que tu savais ce que j'avais vécu avec les femmes par le passé. Je ne suis pas un pis-aller, la dernière roue du char, un passe-temps ou un vibromasseur, ma pauvre petite séductrice hispano-brésilienne. Je suis un homme. Je suis un être humain. Qui plus est, je suis quelqu'un qui, avant ce viol que tu m'as fait vivre avec autant de malignité, t'a toujours respectée, aimée, honorée et considérée au point de faire des démarches religieuses pour te rassurer. J'étais prêt à abandonner ma vie en Belgique pour toi, à tout recommencer à zéro à Lyon afin que tu ne sois pas déracinée, et que tu puisses poursuivre tes soins auprès du réseau de docteurs et spécialistes que tu t'étais constitué au fil des ans à Lyon en raison de tes graves problèmes de santé. La vraie TRAHISON émane de toi, et non de moi, que tu veuilles le reconnaître ou non. Ce blog n'est pas une CAUSE mais une CONSÉQUENCE ! Il ne faut pas confondre les causes et les conséquences, Maria Bazeliza. Et puis, je te le répète : quand on salit tout autour de soi, on finit par être sali soi-même. On n'obtiendra jamais de l'amour en agissant avec mépris. JAMAIS. Et encore moins en le faisant au nom d'un Dieu d'amour. Sans parler du fait que cela relève de l'absurdité la plus totale.

 

Ce combat, au passage, comme je le mentionnais brièvement il y a un instant, m'a fait comprendre une chose terrible, mais essentielle pour le peu de temps qu'il me reste à vivre : il y a une force que l'on appelle « destin ». Certains destins sont d'être comblés, d'autres d'êtres systématiquement poignardés. Le destin, c'est lorsque les choses sont condamnées d'avance, quoi que l'on fasse, une chose ou son contraire. Quand rien ne dépend de soi, c'est le destin. Quand quoi que l'on prenne comme décision, les choses échouent toujours, c'est le destin. C'est mon destin, oui, et aujourd'hui je n'ai plus honte de le dire. Aujourd'hui, j'ai décidé de vivre la tête haute, malgré ce handicap de naissance.

 

Au vu de tout ceci, d'ailleurs, il me paraît important de pointer du doigt les gens qui disent que « la vie ne dépend que de soi » : en effet, ceux-ci sont des pervers narcissiques, des criminels psychologiques qui devraient être internés en psychiatrie voire mis derrière les barreaux car ces mots sont aussi condamnables que ceux des négationnistes lorsqu'ils déclarent que « les camps de concentration nazis n'ont jamais existé ». Ce sont des propos sadiques dans la mesure où ils nient la souffrance d'une catégorie de personnes, leur causant une seconde douleur qui se juxtapose à la première, pour les uns celle des camps, pour moi (et pour d'autres personnes) celle du destin préétabli et persécuteur. Oui, c'est une grave offense visant les gens dont le destin ne permet pas de s'accomplir. Sur mon humble parcours de vie, j'ai rencontré plusieurs personnes qui se trimbalaient ainsi la malchance comme on porte en soi un cancer qui vous ronge intérieurement jour après jour et détruit toute perspective autour de vous. Le destin, la malchance, sont un cancer. La plupart du temps, incurable.

 

Maria Bazeliza M. n'ignorait pas tout cela, je lui avais raconté toute ma vie avec honnêteté et par le menu, jusqu'aux détails les plus intimes. Elle savait par conséquent qu'une énième trahison sentimentale me détruirait, au vu de tout ce que j'avais déjà vécu. Nous nous étions promis en août 2012, allongés nus l'un contre l'autre, dans de doux murmures, de ne jamais nous trahir quoi qu'il arrive. Or, elle m'a trahi... à trois reprises et sans la moindre hésitation !!! Lorsqu'on fait à quelqu'un, délibérément et en connaissance de causes, quelque chose dont on sait que c'est ce qui lui fera le plus de mal, alors c'est qu'on a de la méchanceté en soi et qu'on désire lui faire du mal. Cette méchanceté ne peut pas rester éternellement impunie, surtout si la personne ne montre aucune volonté de réparer son erreur. Ce qui est le cas ici. Récemment une personne sur Facebook m'a gentiment et pertinemment signifié que je n'avais « pas le droit d'intervenir dans les erreurs propres à chacun », sous-entendu qu'il faut avant tout s'occuper de ses propres erreurs. Je lui ai répondu ceci : « Dans l'absolu, tu as raison. Cependant, certaines personnes nuisent à la société. Quand on met quelqu'un en prison, on intervient aussi dans les erreurs de l'autre, mais il est parfois nécessaire de mettre certaines personnes hors d'état de nuire. Si on laisse tout passer, demain c'est le chaos. Enfin, tu me diras que c'est déjà le chaos depuis 200.000 ans. Mais tout de même... (...) On n'a effectivement aucun droit d'intervenir dans les erreurs de quelqu'un... sauf si ce sont des erreurs qui nous ont causé personnellement beaucoup de tort. Un fauteur ne comprend pas toujours ses erreurs si on ne lui met pas le nez dans la flaque de sang qu'il a répandue. C'est pour cela qu'on a inventé (à tort ou à raison) la police. Ça fonctionne de la même façon à petite et à grande échelle. En tout cas, c'est mon humble point de vue. Qu'on détruise une seule personne ou qu'on en tue mille, ça ne change pas grand-chose : dans les deux cas, on a du sang sur les mains. Le silence, face au crime, n'est jamais un bon parti. C'est se rendre complice des mauvaises personnes, et les encourager à recommencer encore et encore. Si j'apprends qu'un voisin viole tous les jours son enfant, moi je décroche mon téléphone et je dénonce. Je suis comme ça, je n'y peux rien. Je ne peux pas fermer les yeux ni ma gueule devant certaines choses, sinon je ne suis plus en ordre avec moi-même. C'est ma nature, que veux-tu... Je n'accepte aucun viol d'aucune sorte que ce soit. » Et même si je ne suis pas toujours d'accord avec ces entités qui agissent parfois abusivement (attention, je ne mets pas tout le monde dans le même bateau ! Je suis POUR l'ordre, la justice et les tribunaux), force est d'admettre que sans la police, les prisons, le système judiciaire, tout criminel resterait impuni, et ce serait davantage le chaos que ça ne l'est déjà.

 

En conséquence de tout cela, j'ai donc décidé de recommencer à écrire des textes et de les diffuser sur mon blog et sur d'autres supports, ainsi que de publier l'intégralité des échanges de mails et textos avec Maria Bazeliza M. compris entre le 8 février 2012 et le 19 janvier 2014, qui seront plus éloquents que toute analyse (inévitablement subjective de ma part, mes blessures étant à vif depuis déjà décembre 2012, date de sa première trahison et du début des violences de sa famille à mon encontre). Ces échanges parleront d'eux-mêmes, et constitueront un cas psychiatrique des plus intéressants de manipulation humaine et de perversité narcissique, comme je le mentionnais précédemment. Mon plus grand souhait est que ce cas de figure aide d'autres personnes à mieux cerner/identifier le mal à visage humain, et à mieux lutter contre lui. Le mal doit être impérativement détruit. Il en va de l'avenir de nos enfants. Si la société accepte de tels comportements, c'est la porte ouverte à tous les abus, qu'ils soient religieux ou non.

 

L'aspect négatif de ce premier bilan de mon combat contre les jéhovistes satanistes de Lyon, est qu'une fois encore le mal a terrassé le bien, en dépit de mes innombrables efforts pour permettre au bien de remporter la victoire. La haine a pris le dessus sur l'amour, pour la énième fois dans ma vie. Vous voyez, c'est cela le « destin » dont je parlais : quelque chose qui se répète indéfiniment malgré les efforts que l'on déploie pour arranger les choses, pour aller de l'avant, pour s'améliorer, en se changeant soi-même au besoin, jusqu'à adopter une attitude différente voire opposée à la sienne. J'ai à mon palmarès des femmes alcooliques, droguées, schizophrènes, infidèles, malades de toutes sortes... et aujourd'hui, avec Maria Bazeliza M., s'ajoute une fanatique religieuse sataniste, ce qui manquait à ma collection invraisemblable de spécimens de la gent féminine terrienne. De quelle nature abominable sera la prochaine femme qui s'installera dans ma vie ? À quel autre type de démon de l'enfer aurai-je affaire ? Satan, il est vrai, a plus d'une salope dans son sac, dans sa cage... dans son saccage.

 

La volonté de Dieu de me voir dénoncer le mal humain : c'est là le seul sens plausible que j'aie pu trouver à cette rencontre avec la famille M. et la secte de Tassin. Si Dieu me laisse ainsi être guidé sur les sentiers marécageux de la haine, c'est qu'Il a d'importants desseins pour moi dans ce décor. Peut-être, justement, savait-Il qu'en me confrontant à tout ce marasme humain des décennies durant, cela finirait par me pousser à dénoncer ce mal publiquement... alors que quelqu'un d'autre ne l'aurait pas fait – pas mal de gens m'ont conseillé de laisser tomber et de tourner la page ou d'aller consulter un psy, attitude à laquelle je n'adhère pas, et qui prouve que Dieu ne m'a pas choisi au hasard pour mener ce combat –, ou serait tombé dans la drogue voire serait devenu un assassin en série. Oui, dénoncer le mal humain, afin d'éviter qu'il y ait de futures victimes de ces mêmes maux qui ont miné ma vie ces vingt dernières années.

 

Quand on n'a pas droit à l'amour, on se rabat nécessairement sur la haine. À ceci près que, au contraire des gens haineux, ma haine ne portera, justement, que sur... des gens haineux ! Pas aux gens de bonne composition, ce serait une grave erreur, ce serait me rabaisser au même niveau que ces gens haineux de Tassin. On ne peut qu'aimer les gens d'amour, et haïr les gens de haine. Jusqu'au bout, je me battrai contre les gens de haine, quels qu'ils soient. Je commencerai par la famille M., Alain V. et certains membres de Tassin La Demi-Lune. Mais d'autres démons humains s'ajouteront au fil des mois de ce dernier combat.

 

Dans le même dessein, j'évoquerai très bientôt un récit qui ne me concerne pas directement, qui m'est parvenu d'une ex-femme battue... qui s'est battue pour en sortir. Vous en saurez plus très bientôt sur ce même blog. Soyez au rendez-vous !

 

Dénoncer le mal est la plus saine et la plus pure des démarches humaines. À force d'anathématiser le mal, un jour il ne restera que le bien. Et à partir de cet instant où seul restera le bien, je pourrai enfin me construire une vie (et ce sera aussi vrai pour les autres personnes dans mon cas). Que ce soit dans cette vie, ou dans la suivante. Car oui, j'ai la foi. Une foi inébranlable dans une vie au-delà de celle-ci. Et une foi inébranlable en Dieu. Cette vie-ci n'est qu'un transit, une parenthèse, une erreur de parcours. Le plus important vient après le trépas. C'est à cela que je m'accroche pour ne pas devenir moi-même quelqu'un de mauvais à force d'être traîné dans la boue. Et je vous invite toutes et tous qui souffrez de maux de toutes sortes, à accorder de l'importance à ce qui vient après cette vie. Oui, cette vie-ci est sans aucune importance. Elle n'a de sens... que si on s'en sert pour détruire les gens mauvais !!! Je vous encourage à vous armer pour éliminer ces déchets humains afin qu'ils ne puissent plus nuire à nos enfants. Je le répète : pensez à nos enfants !!! Seriez-vous contents que vos enfants se retrouvent embrigadés par ces gens en un « enfer sur Terre », jusqu'à être poussés au suicide ???!!! Ce sont des gens dangereux, qui sont capables de pervertir le cœur le plus pur, et de détruire les plus belles personnes que compte notre planète. Ces gens ne méritent pas de vivre. Ils constituent la lie de l'humanité. Ils sont plus méprisables que le plus sauvage des animaux de la jungle. Que le grand nettoyage commence, mesdames et messieurs ! Au travail !!! Faites que je ne sois pas seul dans cette œuvre de purification terrestre. J'aurai besoin de votre aide à toutes et à tous. Au nom du bien, de l'amour et de l'avenir, cessons de fermer les yeux et de nous taire !!! Ceci n'est pas une incitation à faire couler le sang, mais à faire écrouer ou interner les personnes qui n'ont pas leur place dans nos rues !!!

 

Suis-je un idéaliste pour croire qu'un jour le mal puisse être banni de notre monde ? Ne pensez-vous pas que tout n'est qu'une question de persévérance ? On me reproche parfois d'être négatif. Mais est-ce « être négatif » que de combattre le mal en vue de rétablir le bien ? La réponse me semble aller de soi, mesdames et messieurs.

 

Merci d'avance pour votre soutien et pour votre collaboration future.

 

Daphnis Boelens, 26 janvier 2014 – 7 février 2014

 

 

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